Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
NON A LA DETTE !!
1 avril 2008

On parle, on parle...

"C'est la semaine de «vérité» sur les comptes publics" écrit le figaro. "On va geler la progression des dépenses publiques de l'Etat" et "le plein emploi est la solution à tous les problèmes" dit le premier ministre. Les comptes publics seront même à l'équilibre en 2012...

Poisson d'avril ! La semaine de vérité, on l'attend toujours. Car la stabilité des dépenses de l'Etat en volume, c'est-à-dire une augmentation limitée à l'inflation, ce n'est rien de nouveau : c'est d'actualité depuis les gouvernements Raffarin ! D'ailleurs, l'inflation étant montée à 3%, cela signifie-t-il que les dépenses de l'Etat vont croître plus vite aussi ?

Il faudrait en réalité stabiliser en valeur les dépenses de l'Etat, grâce à - surtout - des gains de productivité et - aussi - à la réduction du périmètre de l'Etat, ce qui sera étudié dans la Revue Générale des Politiques Publiques*. Car pendant ce temps, les dépenses des adminitrations publiques locales (régions, départements, communes...) augmentent trop vite (6% par an). Et celles de la sécurité sociale, celles qu'on ne peut pas et qu'on ne doit pas limiter, de 4 à 5% par an.

Enfin, le plein emploi comme solution - sinon à tous - en tous cas aux problèmes de finances publiques, certes. Mais quels moyens on se donne pour y parvenir enfin ? Comment on attire les investissements étrangers (et comment on retient les investissements des groupes français) nécessaires à de nouvelles embauches ? On dérèglemente certaines activités ? On diminue le coût du travail ? Auquel cas on gèle le SMIC ou on diminue les charges sociales ? Auquel cas avec quoi on finance la sécu, déjà en déficit ? En théorie le gouvernement devrait nous éclairer vendredi sur sa réponse sur ces sujets. A suivre donc.

* Revue Générale des Politiques Publiques (RGPP) : action lancée par le gouvernement suite au rapport Pébereau qui vise à améliorer l'efficacité du service public. C'est, selon le site du premier ministre, "le cadre qui donne du sens à toutes les actions de modernisation à mettre en œuvre pendant la durée du quinquennat : simplification du droit et des procédures, développement de l’administration électronique, qualité des procédures de gestion et des systèmes d’information, organisation de l’État à l’échelon local et professionnalisation de la gestion des ressources humaines". Ainsi, la fusion de la direction générale des impôts et de la direction générale de la comptabilité publique, la fusion des services de renseignement et la réforme de la carte judiciaire sont issues de cette RGPP.

Publicité
Publicité
Commentaires
N
Annie, si ces dettes inter-administrations publiques étaient remboursées, c'est la dette de l'Etat qui serait augmentée. Et cela ne changerai rien : dans un cas comme dans l'autre, c'est l'argent des français, et dans un cas comme dans l'autre il faudra bien boucher les déficits par des cotisations supplémentaires ou des dépenses inférieures.
A
Pour combler le deficit de la securité sociale, nos chers gouvernants n'ont rien trouvé de mieux que de noue faire payer une fois de plus :<br /> consultations medicales 1 euro de retenu <br /> controle lors d'arrets de maladie <br /> consulter un generaliste avant un specialiste<br /> pour tous traitements de plus de 91 euros nous en serons de 18 euros de notre poche <br /> toutes ces mesures pour combler le trou de la securité sociale qui s'elève à ce jour à 11 milliards d'euroor savez vous que:<br /> -une partie des taxex sur le tabac destinés à la securité sociale, n'est pas reversée .....7,8 milliards d'euros<br /> -une partie des taxes sur l'alcool destinées à la securité sociale n'est pas reversée .....3,5 milliards d'euros <br /> -taxe sur les industries polluantes non reversée....1?2 milliards d'euros<br /> -taxe sur les primes d'assurances automobiles non reversée.....1,6 milliards d'euros <br /> -la part de TVA destinée à la securité sociale non reversée 2 milliards d'euros<br /> -retard de paiement à la securité sociale pour les contrats aides ....2,1 milliards d'euros <br /> -retard de paiement par les entreprises ....1,9 milliards<br /> en faisant l'addition, on arrive à un total de 2O,1 milliards d'euros<br /> Si les responsables de la securité sociale et nos differents gouvernants avaient fait leur boulot efficacement et surtout honnetement , le pretendu trou de la secu serait excedent de 9 milliards d'euros à ce jour <br /> ces chiffres sont issus du rapport des comptes de la securité sociale <br /> Ils nous prennent pour des abrutis c'est pour cela qu'ils rigolent toujours sur les photos et à la Télé
A
Pour Fillon, la France d'après les 30 Glorieuses "a vécu à crédit" <br /> Le Premier ministre, François Fillon estime dans une tribune à paraître jeudi dans Le Point qu'après la période faste des Trente Glorieuses la France a "vécu sur son héritage et à crédit", une "imprévoyance" que la jeunesse d'aujourd'hui est obligée de "payer".<br /> "La France issue des 30 Glorieuses n'a pas voulu ou n'a pas su s'adapter aux défis de son temps (...) Au lieu de préparer l'avenir, la France a vécu sur son héritage et à crédit", écrit le Premier ministre.<br /> "Nul n'est vraiment coupable. Mais nous sommes tous un peu responsables d'avoir pensé que le progrès allait toujours de soi: la jeunesse paie une partie de cette imprévoyance", poursuit-il.<br /> Parmi "les devoirs" vis-à-vis des jeunes générations, le chef de gouvernement inscrit celui "d'alléger le fardeau de la dette", ce qui implique, souligne-t-il, "de faire des choix et des efforts".<br /> Le gouvernement s'est fixé la résorption totale du déficit public d'ici 2012. Mais selon la Commission européenne, le déficit public français devrait croître et atteindre 2,9% du Produit intérieur brut cette année puis 3% en 2009, la limite autorisée par l'UE, et ce contrairement aux prévisions économiques affichées par Paris (2,5% en 2008).<br /> Le commissaire européen à l'Economie Joaquin Almunia a ainsi déclaré lundi que l'UE envisageait de lancer une mise en garde à la France.
A
Jim Rogers : "La FED va faire faillite à cause de Bernanke et Greenspan"<br /> -----------------<br /> ** Nos correspondants américains cèdent la parole à Keith Fitz-Gerald, du New China Trader : Keith a réalisé une longue interview de Jim Rogers, spécialiste des matières premières, que nous vous proposons par épisodes tout au long de la semaine. <br /> Keith Fitz-Gerald (Q) : En ce moment, de grosses sommes d'argent convergent vers et autour de la Chine. Pensez vous que les Etats-Unis, avec tous les problèmes qu'ils rencontrent actuellement, risquent d'être laissés de côté ?<br /> Jim Rogers : Absolument.<br /> Le dollar US est une devise terriblement défectueuse. J'essaye de sortir tout mon argent du dollar. Je ne vois pas pourquoi quiconque investirait dans le dollar, et par extension, dans les Etats-Unis, au vu de la situation actuelle. L'Amérique est probablement la nation la plus endettée que le monde ait jamais vue !<br /> La dette extérieure des Etats-Unis augmente au rythme de 1.000 MILLIARDS DE DOLLARS TOUS LES QUINZE MOIS. Cette dette dépasse aujourd'hui les 13 000 milliards de dollars et elle augmente très rapidement. C'est la politique officielle de la banque centrale : dévaluer la devise. Ils tentent de faire chuter le dollar.<br /> Q : Le gouvernement a parfaitement bien réussi jusqu'à maintenant.<br /> Rogers : Et vous n'avez encore rien vu !<br /> Ils essayent de dévaluer le dollar. J'essaye d'être patriotique. J'essaye de vendre des dollars. C'est ce qu'ils veulent. J'essaye donc de les aider à faire chuter la valeur de la devise. Tous les Américains devraient faire de même...<br /> Mais la plupart des gens -- enfin, surtout moi -- se joignent à ceux qui essayent d'éviter le dollar, parce que Washington a envoyé un message très clair : "nous voulons que le dollar s'effondre. Nous ferons de notre mieux pour qu'il s'effondre".<br /> A chacun de prendre ses décisions. J'essaye de faire ce que la Fed attend de moi, et je vends des dollars.<br /> Q : Selon moi, l'ancien président de la Fed, Alan Greenspan, et le directeur actuel, Ben S. Bernanke, pourraient être considérés comme les pires présidents de toute l'histoire de la banque centrale. N'êtes-vous pas de mon avis ?<br /> Rogers : [Bernanke] et Greenspan vont sûrement, à eux deux, mener la Fed à sa perte. Deux banques centrales ont fait faillite ici aux Etats-Unis. Cette troisième banque centrale va faire faillite elle aussi, à cause de Bernanke et Greenspan.<br /> Il y a deux semaines, la Fed a ajouté 200 milliards de dollars à son bilan d'hypothèques. Je ne sais pas jusqu'où ils pourront étendre ce bilan, mais s'ils continuent de cette façon, c'est tout ce qui leur reste. C'est peut-être infini. J'en doute. Mais on peut prétendre qu'il n'y a pas de limite ; il suffit d'imprimer de l'argent au Zimbabwe ou ailleurs. Tout ça aura une fin... mais c'est vraiment insensé.
A
Invité, dimanche 20 avril, de l'émission "Le Grand Rendez-vous" d'Europe 1, le ministre de la défense, Hervé Morin, a estimé que la situation budgétaire "de l'équipement de nos forces rend difficile la construction d'un second porte-avions". "C'est un arbitrage que nous avons à faire, qui sera fait dans les prochaines semaines", a-t-il ajouté, précisant que le président de la République "décidera".<br /> Pour prudent qu'il apparaisse, le propos renforce les rumeurs insistantes de ces dernières semaines allant dans le sens d'une décision négative pour ce programme-phare de la Marine nationale, dont le coût - entre 3 et 3,5 milliards d'euros -, est jugé trop lourd par le ministère des finances.<br /> Les armées (notamment l'armée de terre) vont devoir accepter des sacrifices en matière de réductions d'effectifs et de fermetures de sites, ce qui ne plaide pas en faveur du second porte-avions, lequel a vocation à compléter le Charles-de-Gaulle, actuellement en période de maintenance.<br /> Pendant la campagne présidentielle, Nicolas Sarkozy s'était prononcé en faveur de sa construction. L'un de ses proches collaborateurs évoquait encore récemment "l'attachement du président pour le second porte-avions".<br /> ------------<br /> Qui veut nous faire la guerre ? Le Luxembourg ?<br /> La prochaine guerre sera une guerre de rue, de quartier (voir ce qui se passe en ce moment partout dans le Monde ) Alors on veut que le porte-avion navigue dans les égouts de Paris ??
NON A LA DETTE !!
Publicité
Derniers commentaires
Archives
NON A LA DETTE !!
Publicité